L’air , c’était déjà programmé…
À L’origine, en 1981, suite à la victoire des socialistes devenus « sexcialistes » au fil des années, donc au soir de la victoire de François MITTERRAND, plusieurs promesses de campagne étaient sur la table. Parmi les 101 propositions de son programme, la question de nationalisation et renationalisation des grands groupes tels que les Banques, Peugeot et bien d’autres s’est posée sans aucun problème puisqu’il y a eu nationalisation.
A un moment, s’est posée la question de nationaliser la CGE Compagnie Générale des Eaux du Président de l’époque Guy DEJOUANY.
La décision a été prise de ne pas toucher à cette Compagnie.
Pourquoi ?
La réponse est très simple puisque c’est la CGE qui finançait, je dirais arrosait toutes les campagnes des élus socialistes et autres de l’époque. D’ailleurs, petite parenthèse, c’est ce qui a amené pour la 1ère fois le maire de la plus grande ville d’Outre-Mer à se retrouver derrière les barreaux plus tard.
Le choix de laisser libre au marché et aux actionnaires, de faire main basse sur un élément essentiel à la vie en s’accaparant ce joyau de la distribution des eaux inventée par les français.
Avec le projet de loi sur la transparence du financement de la vie politique et les lois d’amnisties votées, à la va vite, par les élus pour se protéger et de l’autre côté le grand Président Guy DEJOUANY se choisissait un successeur Jean-Marie MESSIER venu du monde de la finance, comme notre Président de la République actuel.
En bon financier totalement déconnecté du monde réel, il a bien fait écrouler les actions de la CGE devenue VIVENDI pour charmer les places financières mondiales au point de se faire rejeter par ses paires et de se retrouver en garde a vue.
Là n’est pas mon propos mais plutôt de faire prendre conscience.
Si le monde de la finance a pu s’autoriser de produire des dividendes a chaque fois qu’on ouvre le robinet avec la complicité des élus, en bons financiers qu’ils sont, l’idée germait déjà de faire des dividendes avec l’air.
Mais comment ?
La Covid est une bénédiction pour eux puisque maintenant, vous devez payer pour respirer sous peine d’amende, toujours avec la complicité des élus, puisque rien ne les oblige de pratiquer ce type d’amende qui fait la joie des investisseurs.
La Covid est donc une bénédiction. Tombée du ciel pour la haute finance « d’en haut » ou malédiction pour le peuple « d’en bas », voire plutôt création de toutes pièces pour imposer ce qui est impensable : la vente de l’air. Et cette Covid, elle tue par asphyxie, donc manque d’air. Ils sont vraiment forts ces puissants et pas à cour d’idées pour trouver des dividendes et les envoyer au paradis financier et la population vit l’enfer !
Comment s’en sortir ?
C’est tout simple ! En envoyant lors des prochaines élections des nouveaux candidats non issus des « laboratoires politiques » dans toutes les assemblées, qui feraient voter une loi afin de rendre gratuit tout ce qui est vital à la vie : l’eau, l’air et retirer ces activités des places financières pour assainir et humaniser le jeu politique.
Soyons Responsable, Engageons-Nous !
HG HARY GRONDIN
Fondateur de Humaniste Global de France et d’Outre-Mer.
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